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 this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot]

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wo de mingzhi shi
Wu Zhi Lao
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Wu Zhi Lao
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MessageSujet: this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot]   this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot] EmptySam 14 Sep - 17:52

tenue (ft sexy geunseok *ç*)







    Il avait beau aimer son travail, en être passionné, cela lui faisait toujours un bien fou lorsqu’il terminait. Car il pouvait enfin quitter cet endroit bruyant, qui lui donnait parfois de vrais mots de tête. Et puis, on est toujours mieux chez soi, bien calé dans un sofa douillet avec un bon café, non ? Là, c’était exactement ce dont il rêvait. Sa journée avait été particulièrement agaçante, surtout cette après-midi-là. Pourquoi ? Tout simplement car Zhi Lao a dû faire face à une confrontation entre deux sdf totalement ivres qui se criaient dessus pur s’insulter de tous les noms. Et bien sûr, dans ce genre de cas, pour comprendre la raison de ce conflit, c’est bien compliqué, aucun n’ayant la même version et l’alcool les empêchant d’avoir des propos compréhensibles. Mon Dieu qu’il détestait cela. Certes, c’était bien moins déprimant et douloureux que de s’occuper d’enfants disparus ou torturés, mais tout de même. C’était exactement dans ce genre de moments que ses collègues admiraient son calme à toute épreuve. Mais qu’ils se rassurent, le fils Wu prenait vraiment sur lui pour ne pas crier ou user de force pour calmer ces deux hommes. C’était ça aussi le travail de policier : savoir garder son sang-froid face à n’importe quelle situation. Enfin bref. Sa journée était finit, et il allait pouvoir manger un bon repas et se reposer, pour décompresser. Mais à croire que le destin était contre lui : il venait de se mettre à pleuvoir ! Aiiiiish. Il n’eut donc pas d’autres choix que de courir en direction du métro, se protégeant comme il put à l’aide sa casquette. Ce fut donc un Zhi Lao un peu trempé –ce qui le rendait encore plus sexy- qui entra dans la station de métro, déprimé à la vue de tout ce monde qui attendait.

    Surement grâce à sa tenue de policier,  on le laissa entrer en premier dans la rame, qui était déjà bien pleine. Tant bien que mal, il tenta de se frayer un chemin, et se retrouva bloqué dans un coin, contre le dos d’un jeune homme. Ne pouvait faire autrement que de coller son corps musclé au sien, il se mordit la lèvre, à cause de son bassin collé presque érotiquement aux fesses de l’inconnu dos à lui. Aish, il n’aimait pas ça. Posant une main sur le mur à côté de la tête de cette personne, la situation était vraiment délicate. Plus grand de quelques centimètres, Zhi Lao vint glisser à l’oreille du garçon de sa voix suave un simple mais sincère « désolé », plutôt gêné de la situation. Regardant un peu partout à la recherche d’un quelconque autre espace, il se vit dans une vitre du métro non loin, et reconnu alors la personne à qui il était collé. Un sourire se dessina alors sur son visage, et lui vint pincer de sa main libre la joue du garçon, l’eau de ses cheveux tombant dans le cou de celui-ci. « Comment on se retrouve, Tao. ». Etrangement, il se sentait moins gêné maintenant qu’il savait que cette personne était l’une de ses connaissances. Bao Tao Xin, un petit délinquant avec une très belle gueule, qui n’avait rien de méchant ou dangereux. D’un coup, le métro bougea brusquement et ils se retrouvèrent plaqués contre la paroi. Mais Zhi Lao eut le temps de glisser sa main sur le ventre –enfin, les abdos- de son cadet, pour ne pas qu’il se blesse. Mais cela n’avait fait qu’amplifier la rencontre de son entre-jambe avec les fesses du jeune chinois. Mmh, situation plutôt cocasse, vous ne trouvez pas ?
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wo de mingzhi shi
Bao Tao Xin
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MessageSujet: Re: this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot]   this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot] EmptySam 14 Sep - 23:31

tenue


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zhilao feat taoxin.

 



Encore une journée de travail complètement… plate. À l’approche de l’automne, les gens sortent de moins en moins et tes journées te semblent soudainement beaucoup plus longues. Durant l’été, le flux de client avait été assez soutenu, la boutique faisait un bon chiffre d’affaire, surtout que les confiseries, ça se vend plutôt bien. Mais là, avec le début des baisses de températures, les gens ont plus envie d’un chocolat chaud que d’un paquet de bonbon ! Encore heureux, la boutique est situé non loin d’une école pour enfant, donc une fois les cours terminés, t’en vois passer quelques-uns le soir mais sinon, c’est pire que le désert. Alors tu t’ennuies et t’es presque content de retourner à la civilisation le soir en allant prendre le métro. Tu salues ton patron qui s’occupe de tenir la boutique jusqu’à la fermeture et tu te diriges d’un pas trainant vers la bouche de métro la plus proche pour attraper le premier qui passe et rentrer dormir. Parce que la seule chose que t’as envie de faire après une telle journée, c’est clairement dormir. Tu sors ta carte de métro de ta poche pour pouvoir ouvrir les portes automatiques du métro de Shanghai et t’enfoncer dans la masse de population qui afflue dans les souterrains à cette heure-là. Heure de pointe. Dommage. Tu essaies de te frayer un chemin dans la rame mais manque de chance, les portes se referment avant que tu n’aies pu monter dedans. Le prochain passe dans trois minutes. Tu espères qu’il soit vide mais cela relève presque du fantasme à cette heure-là. Le train suivant arrive et tu joues des coudes pour aller trouver une place dans un coin, histoire d’être loin des portes pour ne pas être poussé dehors lors des prochains arrêts. De toute façon, tu descends pas avant un long moment donc pas la peine de squatter près des portes. Tu t’enfermes dans ta bulle, te tenant comme tu peux pour ne pas tomber. Vivement que tu arrives à ta station pour descendre. Mais plus le métro s’enfonce dans la ville et plus le wagon se remplit. Heureusement pour toi que tu n’es pas claustrophobe. Tu serais déjà en pleine crise à l’heure qu’il est et tu pourrais rien faire pour t’en sortir, quelle horreur. Et de plus en plus de monde monte dans ton wagon et au final, ton espace vital est envahi par une personne. Tu ne sais pas de qui il s’agit mais tu comprends bien vite qu’il s’agit d’un homme puisque tu sens son entre-jambe contre tes fesses. Dans d’autres circonstances, t’aurais trouvé ça plus qu’aguicheur et très sensuel mais dans le cas présent, t’avais juste envie de descendre du wagon et attendre un prochain moins pleins. Mais vu le monde, t’aurais plus de mal à sortir qu’à rester dans cette position. Alors tant pis, il finira bien par descendre ce type. Tu sens son souffle dans ton cou, c’est encore plus dérangeant. Il te glisse un désolé au creux de l’oreille et tu te sens frissonner. Depuis quand les gens sont-ils polis dans le métro ? Trop étrange. Tu n’oses pas bouger, tu n’as pas envie de te retourner et de tomber sur un putain de pervers. Et puis une main de pince la joue. Un pervers. Oh mon dieu. Tu sens de l’eau glisser sur ton cou. Qu’est-ce que c’est que ce bordel. Et puis une voix. Comme on se retrouve, Tao. Il connait ton nom. Tu regardes sur le côté, le reflet dans la vitre et dans ta tête, ça fait tilt. Une tenue de flic, ça ne peut être que Zhilao. Tu allais répondre mais le train bougea brusquement et tu manques te t’écraser contre le mur devant toi. Mais une main te retient, placée sur ton ventre. Ton dos entre en contact avec celui de Zhilao et tes fesses appuient un peu plus sur son entre-jambe. « Je… Ravi de te revoir Lao. » dis-tu ne bougeant pas, trop gêné par la situation dans laquelle tu te trouvais. En fait, c’est surtout le fait que vous vous trouviez en public qui te dérangeait. Tu regardas rapidement au-dessus de ton épaule, personne ne faisait attention à vous. « Ça fait longtemps dis-moi » dis-tu en frottant discrètement tes fesses contre son bassin, un petit sourire se fichant sur ton visage. Comment ça tu le provoquais ? Jamais t’oserais enfin.



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wo de mingzhi shi
Wu Zhi Lao
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MessageSujet: Re: this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot]   this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot] EmptyDim 15 Sep - 15:41

  • Tao Xin. Il connaissait maintenant ce garçon depuis un bon moment, et il se souvenait encore de leur première rencontre, au commissariat. Il était assis sur la chaise, les cheveux un peu trop longs, des habits sales et vieux, le regard vide. Un garçon bien trop jeune pour être sdf et qui semblait perdu. Du à son statut de spécialiste en protection de l’enfance, ce fut donc Zhi Lao qui s’occupa de son cas. Mais comment mettre en prison en adolescent obligé de voler de la nourriture pour survivre ? Il n’était pas un monstre… Ce jour-là, il fit son travail, en le mettant en garde et le libérant. Mais pour ne pas vous mentir, il le surprit d’autres fois à voler, mais jamais il ne dénonça ou lui courut après pour l’arrêter. Non, au contraire, il voulait l’aider. Ce fut pourquoi il l’hébergea quelques temps, comme à l’époque, il vivait seul. Il fut en quelque sorte celui qui sortit le fils Bao de la « merde » comme on dit si vulgairement. En effet, il le remit en état, et l’aida même à trouver un travail en lui offrant de nouveaux vêtements, lui coupant les cheveux et autre. Bref, pour lui, ces actes avaient été tout simplement naturels, mais son cadet le lui en avait remercié pendant un bon moment. Et au fond, Zhi Lao aimait être comme un sauveur, car il aimait plus que tout prendre soin des autres, et rendre les gens heureux était son plus beau cadeau. Enfin voilà, tout cela pour dire qu’ils ont un lien fort et que notre policier aime se rendre à la confiserie où travaille le garçon, pour le voir et prendre de ses nouvelles, presque comme un grand frère le ferait à son égard.

    Mais cette fois-ci, la situation était bien différente. Et assez… spéciale. Jamais il n’avait été si proche du garçon. En même temps, il aurait fallu qu’il ait couché avec lui pour cela. Car là, seulement leurs vêtements permettaient de savoir qu’ils ne faisaient rien de sexuel. On aurait dit un vulgaire hentai bourré de cliché avec le soumit qui se fait coincé par un vieux pervers qui va le violer.  Sauf que c’était loin le cas présent. Tentant de protéger Tao Xin des autres personnes ne faisaient pas attention, notre jeune homme sourit en oyant qu’il l’avait reconnu. Voyant qu’il frissonnait faute des gouttes d’eau perlant de ses cheveux, il lui chuchota un « Désolé, il pleut dehors, j’ai les cheveux trempés. » à l’oreille. Puis, il fronça légèrement les sourcils, faute de sentir son cadet frotter ses fesses à son entrejambe. Yah ! C’était quoi ça ?! Doucement, il fit glisser sa main du ventre à l’aine du garçon tout en lui donnant un coup de bassin presque suggestif, pour lui dire d’arrêter. Car nous n’allons pas le cacher, cela lui plaisait, d’autant plus que le fils Bao est juste… une bombe. De sa voix suave, il revint murmurer au creux de son oreille : « Ne joues pas à ça avec moi, Tao. ». Ses doigts finirent par glisser sur le haut de sa cuisse, ayant effleuré au passage l’entrejambe du plus jeune. Baissant le regard sur le garçon, il sourit alors ne coin, reconnaissant sa tenue. Retirant la main de la paroi du métro, il vint lui ouvrir le premier bouton de la chemise de Tao Xin, tout en rajoutant d’une voix joueuse et provocante : « C’est celle que je t’ai acheté, je suis content, elle te va vraiment bien. ».  Et du bout de son index, il traça des arabesques sur sa peau claire et laiteuse, dans le seul but de le taquiner et de le sentir frissonner. Son souffle chaud caressait la nuque du plus jeune ; le tout rendait l’atmosphère entre eux très sensuelle et  provocante. Ce trajet risquait d’être fort intéressant.
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MessageSujet: Re: this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot]   this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot] EmptyDim 15 Sep - 18:34


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Zhilao. Flic de la ville. C’est lui qui t’as sorti de la rue en quelque sorte. Parce qu’à force de faire le con à voler pour te nourrir et dealer, tu t’es fait chopé un jour au final. Assis en garde à vue, c’est lui qui s’est occupé de toi parce que t’étais mineur à l’époque. Et il t’as sorti de tout ça, il t’a même hébergé durant plusieurs jours, il t’a emmené chez le coiffeur, il t’a offert des vêtements aussi. Alors que tu voulais pas toi, tu voulais te débrouiller tout seul, comme un grand alors que tu n’étais rien à l’époque. Mais c’est en partie grâce à lui que t’as réussi à te faire engager dans l’agence, parce que s’il ne t’avait pas offert l’hébergement, s’il ne t’avait pas nourrit et blanchit, tu n’aurais jamais réussi à passer l’entretien de l’agence. Mais il n’est pas censé savoir que tu bosses pour cette agence. Il sait juste que tu travailles comme vendeur dans une confiserie, puisque c’est lui qui t’a aidé à te réinsérer dans la vie professionnelle. Et tu comptes ne pas lui dire que tu as un autre boulot à côté. En plus, tu mets des sous de côtés secrètement pour pouvoir lui rembourser tout ce qu’il a fait pour toi. T’aimes pas être redevable des autres et encore moins de quelqu’un qui bosse pour l’état. Néanmoins, malgré le monde qui t’opposes à lui, tu l’aimes bien Zhilao. C’est la seule figure masculine forte qui t’as vraiment aidé, alors tu sais pas, tu le considères presque comme ton grand-frère. C’est assez bizarre pour toi en fait, t’as pas l’habitude d’avoir ce genre de figure. C’est trop étrange. Mais tu sais pas, tu l’aimes bien ce gars. Mais le fait qu’il soit dans ton dos actuellement, aussi proche physiquement de toi, te dérange énormément. Enfin, surtout le fait que vous vous trouvez dans le métro. Vous auriez été seul, t’aurais pas été aussi mal à l’aise que maintenant. Tu sens son souffle dans ton cou et l’eau qui goute de ses cheveux qui tombe entre ta peau et le col de ta chemise. C’est une situation plus qu’excitante. Il s’excuse à propos de ses cheveux trempés, il pleut dehors. Ah bon ? Depuis quand ? Non en fait tu t’en fou. T’es plus occupés à frotter ton derrière contre son entre-jambe qui est bien trop proche de ton corps, le tout le plus discrètement possible, histoire que personne ne vous remarque. De toute manière, les gens sont trop occupés sur leurs téléphones. De vrais accroc ces asiatiques. La main que Zhilao avait posée sur ton corps glissa vers ton aine et il te donne un léger coup de bassin avant de t’ordonner d’arrêter. Sa voix au creux de ton oreille te fait une nouvelle fois frissonner. Tu sens ses doigts glisser jusqu’au haut de ta cuisse, effleurant au passage ton entre-jambe. Entre-jambe qui commence à réagir alors que t’as rien demandé. « Tu vas me faire quoi si je continue ? Tu vas me passer les menottes ? » chuchotes-tu en reculant ta tête pour approcher au plus possible son oreille. Ce serait d’autant plus marrant s’il t’arrêtait au beau milieu du métro. Et d’autant plus excitant surtout. Tu vois sa main quitter la paroi du wagon pour venir te retirer le premier bouton de ta chemise. C’est une de celles qu’il t’a offert quand tu vivais encore chez lui. Une de celles que tu préfères aussi. Parce qu’elle te va bien. Enfin, tu trouves. Lui aussi apparemment. Sa main entre en contact avec ta peau pour y dessiner des arabesques du bout du doigt. Ta main resserre la pression autour de la barre à laquelle tu te tiens alors que ton souffle s’arrête un moment. Pourquoi dans le métro ? « Je trouve aussi qu’elle me va bien. Merci de me l’avoir offert d’ailleurs. » susurres-tu alors en te penchant une nouvelle fois en arrière pour atteindre le plus possible son oreille. Tu en profites pour poser ta tête contre son épaule, relevant les yeux vers le plafond du wagon, comme inspiré. Mais tu ne peux t’empêcher de bouger une nouvelle fois ton derrière pour qu’il appuie sur son bassin, pour le provoquer encore plus, un sourire plutôt vicieux collé à tes lèvres.



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MessageSujet: Re: this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot]   this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot] EmptyDim 15 Sep - 21:54

    Il aimait être une sorte de sauveur, de super-héros, pour ces jeunes qui ne demandaient qu’à ce qu’on voit leur détresse et leur tende une main protectrice. Pourquoi ? Tout simplement car il connait cela que trop bien. Il connaissait ce besoin d’être rassuré par une présence chaleureuse, d’être sauvé d’un cauchemar qui vous ronge de partout, de pouvoir enfin espérer un avenir meilleur, avec ses démons loin derrière. Car même encore maintenant, Zhi Lao rêve d’un avenir où les voix de ses kidnappeurs cesseraient de résonner dans sa tête, où une pièce plongée dans le noir arrêtait de le faire trembler de peur, où il n’aurait plus cette sensation d’avoir foutu la vie de ses parents en l’air. Bien sûr, il avait son travail, ses amis, son adorable petit frère qui, comme ils n’étaient pas au courant de son enlèvement, pouvaient aisément lui changer les idées, à l’aider sans qu’ils ne le sachent. M’enfin. Il ne pouvait résister à l’idée d’aider quelqu’un, homme ou femme, adulte ou enfant. A vrai dire, sa vocation d’être policier lui était venue tout naturellement. Il ne s’était pas vu faire autre chose. Zhi Lao avait été tellement soulagé et heureux lorsqu’il apprit qu’on avait retrouvé et capturés ses kidnappeurs, qu’il avait de suite voulu recréer ce sensation de remerciement et soulagement chez les autres personne ayant connu et vécut un crime, quelque qu’il soit. C’est pourquoi une fois le lycée finit, il s’engagea de suite, et encore maintenant, il ne regrette absolument pas son choix. Certes, il était un très bon élève, qui aurait pu faire de belles études. Mais ses parents avaient compris et acceptés son choix sans discussion, se sentant même plutôt fier d’avoir un gardien de la paix dans leur famille.

    Entendant alors les dires de Tao Xin à propos de ses menottes, notre jeune homme se retint de rire. Quittant sa cuisse, il lui prit la main libre et la posa sur sa propre hanche, où ses menottes étaient attachées à l’un des passants de son pantalon. Et toujours de sa voix si sexy, il lui re susurra : « Si tu veux, je peux oui. Serait-ce l'un de tes fantasmes, Tao ? ». Le laissant poser sa tête sur son épaule, il sourit en sentant une petite bosse déjà formée dans le pantalon de son cadet alors qu’il l’avait simplement effleuré en voulant se tenir à la vitre. Intéressant tout ça. Son sourire en coin s’agrandissant, Zhi Lao posa directement sa main sur l’entrejambe du brun, sans gêne, tandis que l’autre l’aidait à lui découvrir l’épaule pour qu’il l’effleure avec une caresse de ses lèvres. Y déposant un léger baiser, juste histoire de le frustrer, il souffla ces mots au creux de son oreille, de la voix la plus sensuelle possible. « Tu me connais depuis toutes ces années pourtant. Tu sais qu’il ne faut pas me chercher. ». Lentement, il commença à lui masser la bosse par-dessus le pantalon, tandis que sa main libre glissa le long du bras de Tao Xin d’une façon longue, prenant bien son temps, pour finir sur sa main qui tenait la barre. Là, il lia ses doigts aux siens, pour qu’ils tiennent à deux cette barre. Et merde. Voilà que lui aussi commençait à réagir au niveau de son entre-jambe. En même temps, c’était tellement compréhensible. Cette situation possédait un degré de sensualité et d’érotisme incroyable. Et le fait d’être dans un lieu public rendait cela encore plus excitant, vraiment. Et puis merde, Tao Xin quoi !! Il fallait vraiment être aveugle pour ne pas succomber aux charmes de ce garçon si sexy ! Oui, le fils Wu était faible, et il le savait parfaitement.
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MessageSujet: Re: this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot]   this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot] EmptyDim 15 Sep - 23:15


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Tu pouvais t’estimer heureux d’être tombé sur une personne que tu connaissais déjà. Parce que t’aurais pu tomber sur pire dans le métro, avec le monde qui se presse à cette heure-là. T’aurais pu tomber sur un vieux dégueulasse qui se serait pas gêné pour te bander au cul sans une once de honte hein. Ou t’aurais pu te retrouver toi, collé contre une femme qui ne t’aurais pas laissé indifférent et t’aurais encore plus été gêné en fait. Parce que si être la victime de l’histoire te dérangeait, être le méchant, c’était encore pire. Encore heureux, aujourd’hui tu n’es qu’une pauvre et malheureuse victime de Zhilao. De Zhilao en plus. Quelqu’un que tu connais. C’est pas plus mal au final. Même si tes fesses sont un peu trop proche de son bassin et que ta température corporelle est en train d’exploser les records du monde. Même si autour de vous il y a un nombre incalculable de personne et que n’importe laquelle d’entre elle pourrait être en train de vous observer ou même vous filmer. Parce que oui, en plus, à défaut d’être flic, Zhilao est en tenue de travail, sympa pour passer inaperçu non ? Et s’il commence à te menotter au milieu du wagon comme ça, sans raison, ça risque d’attirer encore plus les regards. D’ailleurs. Les menottes seraient-elles un de tes fantasmes ? Bonne question. C’est à réfléchir. Ca pourrait être… sympa. Surtout en fonction de la personne qui te menotte. « Si c’est toi qui me menotte, ça se pourrait bien oui » chuchotes-tu, avec une voix plus que sensuelle. Ta tête repose sur son épaule, tes yeux fixent sans raison le plafond. Plafond neutre, propre. T’avais jamais pensé à regarder un jour le plafond des métros. En même temps, c’est pas comme si c’était super passionnant non plus hein. Tu sens les muscles de sa mâchoire bouger dans son cou, il doit surement être en train de sourire. Peut-être ? En tout cas, ta tête se redresse brusquement alors que tu sens une main sur ton entre-jambe. Tu lâches un faible « putain » avant de sentir sa main sur ton épaule, qui déplace ta chemise. Et puis, tu sens sa bouche sur la peau de ton épaule désormais presque nue. Tu frissonnes encore lorsque tu entends sa voix, au creux de ton oreille, plus sensuelle que jamais. Il ne faut pas le chercher. Tu n’as pas le temps de répliquer que tu comprends qu’il masse l’entre-jambe au-dessus de ton pantalon. Pantalon que tu trouves de plus en plus étroit d’ailleurs. Sa deuxième main glisse le long de ton bras pour venir attraper ta main qui tient la barre de métal qui sert au final à vous tenir tous les deux.  Alors que le petit manège de sa première main continue au niveau de la bosse de ton pantalon, tu commences à comprendre que dans ton dos, lui aussi réagit. Savoir ça t’affiches un sourire narquois. Ta main libre glisse dans ton dos et rencontre son torse sur lequel tu ne t’attardes pas. « Je pourrais porter plainte pour abus de pouvoir. Je suis sûr que je gagnerais… » murmures-tu en essayant de contrôler ta voix. Ta main descends le long de sa chemise avant de trouver la limite entre ce tissu et son pantalon. Beaucoup trop de vêtement. Vous n’auriez pas été en public que vous n’auriez déjà plus que la moitié de ces fichus bouts de tissus ! Tu tires sur son pantalon pour pouvoir y glisser ta main. Une chance que tes bras sont fins et que tes mains le sont également ! Tu passes également son boxer pour que ta main entre en contact direct avec son entre-jambe sur laquelle tu exerces une légère pression histoire de le faire réagir un peu. Tu colles ensuite ton dos à son torse de manière à ce que si quelqu’un vous observe, il s’imagine seulement que tu essaies de conserver une distance minimale entre vos deux corps. M’enfin, vu vos gestes, si quelqu’un vous observe vraiment, pas moyen qu’il manque ce que vous êtes en train de faire. Heureusement que les hommes ont inventé le téléphone portable et heureusement que les chinois en sont accroc !



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MessageSujet: Re: this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot]   this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot] EmptyLun 16 Sep - 14:12

    Au fond de lui, il savait que ce qu’il faisait était mal. Tout d’abord, car d’un point de vue extérieur, on pourrait croire que Zhi Lao abuse de son statut de policier pour caresser et ainsi profiter d’un adolescent sans défense. Chose que lui-même punissait sévèrement, détestant ces vieux pervers. Ensuite, car il avait décidé de ne jamais avoir de relations intimes avec l’un (ou l’une) de ses protégés(e). En effet, il ne voulait pas que ceux-ci aient l’impression qu’il les avait aidés uniquement dans le but de coucher avec eux. Car ce n’était en aucun cas son objectif ! Et, pour finir, il se sentant mal pour Evan. Car il refusait catégoriquement toutes ses avances, qu’elles soient aussi bien pour un simple baiser que pour coucher ensemble. Alors qu’à côté, il était là à caresser l’entrejambe de l’un de ses anciens protégés. Aish, pourquoi tout cela était si compliqué, hein ? Pourquoi ne peut-il simplement pas profiter de la vie, sans se soucier des conséquences ou avoir des remords pour quelqu’un qui, il a encore 3 mois, lui était parfaitement inconnu ? Si jusque-là Zhi Lao n’avait jamais eu de regret par rapport à ses ébats sexuels vis-à-vis de son fake lover, il savait qu’un jour ou l’autre, il allait s’en vouloir et se sentir coupable. Mais il faisait ça pour son propre bien. Car ce garçon lui plaisait bien plus qu’il ne le devrait. Et il ne voulait pas craquer. Alors, il allait voir ailleurs, mais attention, sans prendre ses amants pour des remplaçants ou bien les considérer comme des objets ! Non non, loin de là ! Enfin bref, dans tous les cas, présentement, il profite pleinement du moment et ne compte pas revenir en arrière ou même avoir des regrets. Oh non !

    Alors qu’il massait la bosse de Tao Xin au-dessus du pantalon, notre policier regardait grâce la vitre un peu plus loin d’eux s’il n’y avait pas quelques regards sur eux, et fut rassurés de voir que non. Tous avaient le visage rivé sur leur téléphone portable, tablette ou encore journaux. A croire qu’ils avaient de la chance aujourd’hui ! Venant humer le parfum du garçon, un léger gémissement quitta ses lèvres charnues. Il venait de glisser sa main directement dans son boxer, et lui caressait le membre à nu. Aish, ça, il ne l’avait pas vu venir. Un long frisson remonta son échine tandis qu’il vint mordiller l’oreille du jeune homme, sa voix devenant alors plus érotique. « Et moi, je pourrais porter plainte pour viol avec ce que tu es en train de faire, Tao. ». Décollant légèrement son bassin su fessier du fils Bao pour lui laisser plus de place pour son petit travail manuel. Le décalant un peu pour qu’ils soient davantage face au coin et ainsi mieux cachés des possibles regards indiscrets que l’on pourrait avoir sur eux, Zhi Lao fit lentement glisser sa main de la bosse aux abdos de son cadet, sous cette fameuse chemise. Il les caressa un moment tandis que ses lèvres effleuraient la peau si douce du plus jeune, au niveau de son cou et sa nuque. Puis, finalement, il imita Tao Xin et glissa ses doigts sous les deux couches de tissus, pour pouvoir satisfaire le membre déjà bien en forme du garçon avec de longues et sensuelles caresses, s’attardant parfois sur ses bourses. Un chaud soupire quitta les lèvres du policier, qui, nous n’allons pas le cacher, était de plus en plus excité par cette situation des plus… érotiques. Lâchant la barre du métro, il vint la poser sur la joue du fils Bao pour lui tourner le visage. Un instant, ses yeux se plongèrent dans les siens, leurs lèvres se cherchant alors presque naturellement. Et ne tenant plus, Zhi Lao vint les lui capturer avec fougue, leurs langues se retrouvant bien rapidement pour entamer une danse des plus langoureuses et sensuelles. Mon Dieu qu’il avait envie de lui. Là, maintenant.
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MessageSujet: Re: this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot]   this sounds sexual, doesn't it ? | WITH Bao Tao Xin [hot] EmptyLun 16 Sep - 22:17


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Tu te sentais de plus en plus à l’étroit dans ce petit coin du wagon. Loin d’être claustrophobe pourtant. Mais là, trop de monde autour, trop de chaleur humaine, trop de chaleur tout court. Tu as l’impression qu’en quelques minutes, la température est passée de vingt à trente, sans raison. Surement l’orage. Ou surement le fait que le plus sexy des policiers que tu connaisses se trouve actuellement dans ton dos, son corps presque collé au tiens. Jamais t’aurais imaginé qu’une telle chose puisse arriver un jour. Pourtant, t’as vécu un moment chez lui, tu dormais même dans son lit qu’il t’avais gentiment laissé pour pioncer sur le canapé. Tu l’as déjà vu presque nu, s’habillant devant toi, alors que tu dormais encore à moitié, pour aller travailler. Tu l’as vu sortir de la salle de bain seulement vêtu d’une serviette et les cheveux encore humide. T’aurais pu le provoquer à ce moment-là, t’aurais pu essayer de te le taper à ce moment-là et pourtant, t’as jamais rien tenté. Et t’es loin de laisser passer de telles occasions d’habitudes pourtant. Peut-être parce qu’il était flic ? Non, ça t’aurait pas arrêté non. Ou alors parce que tu pouvais compter que sur lui pour garder un toit et que tu voulais pas risquer de perdre le seul endroit chaud où tu pouvais dormir. Alors t’as profité de son hospitalité, c’est ça ? Pauvre type. T’es qu’un profiteur au final. Même quand t’es avec quelqu’un que tu considères comme ton ami, t’es capable de trouver une manière de profiter de lui. Pauvre mec. Alors c’est surement pour ça que t’as rien tenté avec lui à l’époque, pour pas te retrouver à la porte. Et c’est pour ça que tu profites de cette occasion pour le chauffer, en public ? Parce que t’y trouves un intérêt derrière ? Ou simplement parce que t’en as envie ? Ça se rejoint au final non ? C’est pour ça que ta main a passé la barrière de son pantalon et de son caleçon pour venir caresser son membre qui commence à réagir à tes coups de fesses. T’as même réussi à le faire gémir. Un petit sourire en coin peut se lire sur ton visage, t’es pas peu fier de toi pour le coup. Tu sens ses dents sur ton oreille et tu gémis à ton tour, surpris par ce contact inattendu. Il pourrait porter plainte pour viol ? T’es loin de le violer là quand même. Tu joues avec lui, c’est complètement différent. Le rythme de ta main sur son membre s’accélère un petit peu après ce qu’il vient de dire, comme pour montrer que t’en as rien à foutre de ce qu’il pourrait faire pour te punir. Il te colle un peu plus dans ce coin dans lequel vous êtes et déplace son bassin de ton derrière pour que tu aies plus de place. Sa main quitte ton entre-jambe pour remonter vers tes abdos et tu sens ton corps réagir en s’agitant légèrement. Contrôle-toi. Sa main passe sous ta chemise et ton souffle s’arrête un moment, le temps de comprendre ce qu’il t’arrive en ce moment même. Sa main caresse tes abdominaux alors que ses lèvres ont trouvé de quoi s’occuper dans ton cou et dans ta nuque, t’effleurant juste assez pour te donner des frissons. Et tu sens finalement sa main dans ton pantalon, contre ton membre qui a déjà plus que largement réagi à cette atmosphère sexuelle qui s’est installée dans ce coin du wagon. Ton lâche un long soupire quand sa main entre en contact avec ton entre-jambe et tes yeux se ferment un moment. Tu te tiens toujours fermement à cette barre pour que vous ne tombiez pas lorsque le métro s’arrête ou effectue un virage durant son parcours. Parcours qui ne t’intéresse même plus. Heureusement que tu te trouves sur une ligne circulaire. Sa main quitte la barre à ta surprise et tu réouvres les yeux avant de comprendre qu’elle se trouve désormais sur ta joue. Tu sens ton visage se tourner vers lui et tes yeux entrent en contact avec les siens. Et le temps de respirer, tes lèvres se retrouvent scellées aux siennes, dans un baiser fougueux. Ta langue ne tarde pas à rejoindre sa jumelle pour commencer à danser dans un ballet des plus sensuels. Pourquoi est-ce que vous vous trouvez dans un putain de wagon de métro ? Ta pression sur son entre-jambe se fait plus importante de même que le rythme auquel tu le caresses. Ton souffle se fait court également et tu es obligé de rompre ce magnifique baiser qui vous unissez. « Ton arrêt est dans combien de station ? » demandes-tu, le souffle court, essayant de te concentrer sur autre chose que sa main qui se trouve toujours dans ton pantalon. Pourquoi son arrêt ? Simplement parce que tu sais que son appartement est proche de la sortie du métro alors que l’hôtel où tu loges est bien à vingt minutes et que vu l’état dans lequel vous êtes, plus vite vous trouvez un endroit calme où vous serez seul et mieux ce sera.



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